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ADN: une histoire de Saint-Jean-sur-Richelieu
L'inspiration derrière le mapping
de l'église Saint-Athanase

Les églises de Saint-Athanase
Avant la création de la mission de Saint-Athanase, les colons des Mille Roches (Iberville) se dirigent, non sans difficulté, vers les paroisses de Saint-Luc et même de Saint-Olivier ou Pointe-Olivier (Saint-Mathias) pour accomplir leurs devoirs spirituels.
Il faudra attendre le 14 octobre 1821 pour que Mgr Jean-Jacques Lartigue, évêque de Telmesse, détermine l’emplacement de la future église Saint-Athanase. Ce premier lieu de culte était fait de bois et connaîtra sa bénédiction solennelle le 11 septembre 1823.
Dès 1845, on souhaite remplacer cette première église, qu’on juge vétuste, par une construction de pierre des champs. La deuxième église Saint-Athanase achevée en 1848 sera cependant décimée par un incendie dans la nuit du 6 février 1912.
Érigée selon les plans de l’architecte Alphonse Venne de Montréal, l’église actuelle sera inaugurée le 28 juin 1914. On y intégrera d’ailleurs quelques murs de l’ancienne construction ayant résisté aux ravages des flammes. Un peu comme un phénix qui renaît de ses cendres, la troisième église Saint-Athanase s’élève maintenant depuis plus d’un siècle sur la rive est du Richelieu.
-Crédits photographiques : Rémy Boily
Il faudra attendre le 14 octobre 1821 pour que Mgr Jean-Jacques Lartigue, évêque de Telmesse, détermine l’emplacement de la future église Saint-Athanase. Ce premier lieu de culte était fait de bois et connaîtra sa bénédiction solennelle le 11 septembre 1823.
Dès 1845, on souhaite remplacer cette première église, qu’on juge vétuste, par une construction de pierre des champs. La deuxième église Saint-Athanase achevée en 1848 sera cependant décimée par un incendie dans la nuit du 6 février 1912.
Érigée selon les plans de l’architecte Alphonse Venne de Montréal, l’église actuelle sera inaugurée le 28 juin 1914. On y intégrera d’ailleurs quelques murs de l’ancienne construction ayant résisté aux ravages des flammes. Un peu comme un phénix qui renaît de ses cendres, la troisième église Saint-Athanase s’élève maintenant depuis plus d’un siècle sur la rive est du Richelieu.
-Crédits photographiques : Rémy Boily

Le grand feu de 1876
Le 18 juin 1876, des particules incendiaires s’échappent de la locomotive du Canadien National. Rapidement, un brasier prend naissance à l’arrière du moulin à scie de Louis Bousquet qui jouxte alors la voie ferrée.
Les autorités demeurent pratiquement impuissantes face à l’incendie qui s’intensifie et qui gagne la rue Saint-Georges. Comble du malheur, la pompe à incendie est inutilisable, car démontée en raison d’un entretien périodique, tout comme le réservoir d’eau qui est à sec…!
Des pompiers de Montréal et du Vermont sont alors appelés en renfort. Les flammes, qui défigurent la rue Richelieu et emportent avec elles le cœur financier, industriel et commercial de Saint-Jean, sont finalement maîtrisées dans la nuit, notamment avec l’aide d’une forte pluie.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
Les autorités demeurent pratiquement impuissantes face à l’incendie qui s’intensifie et qui gagne la rue Saint-Georges. Comble du malheur, la pompe à incendie est inutilisable, car démontée en raison d’un entretien périodique, tout comme le réservoir d’eau qui est à sec…!
Des pompiers de Montréal et du Vermont sont alors appelés en renfort. Les flammes, qui défigurent la rue Richelieu et emportent avec elles le cœur financier, industriel et commercial de Saint-Jean, sont finalement maîtrisées dans la nuit, notamment avec l’aide d’une forte pluie.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu

Le Richelieu et ses épaves
Tant d'embarcations ont vogué sur le Richelieu! Et certaines y ont coulé. À côté de l'Ile-aux-Têtes (Ash Island), en face du village de Noyan, les plongeurs peuvent d'ailleurs découvrir quatre épaves.
Il s'agit de trois barges, Maraudeur, Naylor et Vermont, qui transportaient du charbon pour la compagnie Lake Champlain Transportation Co. Le Naylor a coulé en 1899, le Vermont en 1900 et le Maraudeur en 1940.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
Il s'agit de trois barges, Maraudeur, Naylor et Vermont, qui transportaient du charbon pour la compagnie Lake Champlain Transportation Co. Le Naylor a coulé en 1899, le Vermont en 1900 et le Maraudeur en 1940.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu

L'histoire industrielle
L’histoire industrielle de Saint-Jean est riche! Intéressons-nous pour l’instant à deux de ses entreprises emblématiques : la Crane et la Singer. En s’établissant à Saint-Jean en 1920, la Crane, multinationale spécialisée dans la production d’appareils sanitaires, bénéficie d’une main-d’œuvre hautement spécialisée. C’est que l’expertise johannaise dans le domaine de la poterie remonte à aussi loin que 1840! Notons que les « cuvettes Richelieu » connaîtront une grande popularité. C’est en 2001 que cette importante entreprise manufacturière de Saint-Jean fermera définitivement ses portes. La Singer choisit pour sa part d’implanter sa troisième usine canadienne dans le quartier nord de la ville de Saint-Jean et avec elle vient la promesse d’une nouvelle prospérité. L’usine Singer de Saint-Jean, inaugurée le 2 mars 1906, devient la première à fabriquer au même endroit à la fois des meubles et des machines à coudre. Victime d’une féroce concurrence au niveau mondial, la Singer de Saint-Jean, qui ne peut rivaliser notamment avec la production asiatique, enregistre d’importantes pertes au fil des années. C’est finalement au printemps 1986 que l’usine cesse ses activités, et c'est alors un pan de l’histoire industrielle de Saint-Jean qui s'achève.
-Document d'archive du Musée du Haut-Richelieu
-Document d'archive du Musée du Haut-Richelieu

La tradition militaire et le 22e bataillon canadien-français
Saint-Jean-sur-Richelieu possède une longue tradition militaire, qui a commencé en 1666 avec la construction du premier fort Saint-Jean par les Français.
Mais faisons un grand bond pour nous intéresser un peu à la création du 22e bataillon au cours de la Première Guerre mondiale. En fait, c’est au Fort Saint-Jean qu’on accueillera pour la toute première fois le 22e bataillon pour commencer son entraînement en octobre 1914. Il est allé le terminer au printemps suivant, à Amherst, en Nouvelle-Écosse, avant de traverser l'Atlantique pour aller combattre en Europe.
Le 22e est célèbre, car il est le seul bataillon canadien-français des Forces armées canadiennes et deviendra après la Grande Guerre officiellement le Royal 22e régiment. Il existe toujours.
-Document d'archive du Musée du Haut-Richelieu
Mais faisons un grand bond pour nous intéresser un peu à la création du 22e bataillon au cours de la Première Guerre mondiale. En fait, c’est au Fort Saint-Jean qu’on accueillera pour la toute première fois le 22e bataillon pour commencer son entraînement en octobre 1914. Il est allé le terminer au printemps suivant, à Amherst, en Nouvelle-Écosse, avant de traverser l'Atlantique pour aller combattre en Europe.
Le 22e est célèbre, car il est le seul bataillon canadien-français des Forces armées canadiennes et deviendra après la Grande Guerre officiellement le Royal 22e régiment. Il existe toujours.
-Document d'archive du Musée du Haut-Richelieu

Les petits corbeaux noirs de la Roquerie
Au tournant du XIXe siècle, les activités commerciales de Saint-Jean dépendent hautement de la présence militaire. En 1788, on note d’ailleurs que le fort Saint-Jean accueille alors la plus forte concentration de troupes sur le Richelieu, soit 230 individus.
Les commerçants profitent de cette manne que constitue l’importante garnison du fort, et on voit rapidement poindre différents magasins et débits de liqueur sur l’une des artères principales de l’époque : la rue Front (Richelieu).
Cependant, le désordre règne dans cette agglomération commerciale où les bagarres sont affaires courantes. L’abbé Jean-Dominique Brosseau parle alors d’un souci peu marqué de l’hygiène, et parfois même de la moralité dans ce qu’il nomme « le quartier des affaires » et qui héritera même du surnom de «Rookery», qui se francisera pour ultimement devenir la «Roquerie». Brosseau nous offre d’ailleurs une définition du sobriquet de ce lieu qu’il juge peu recommandable :
« On appelle ainsi, en Angleterre, les bosquets de vieux arbres où se plaisent à nicher, en troupes innombrables, les petits corbeaux noirs de ce pays (Jackdaws), bruyants, batailleurs et malpropres.»
-Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
Les commerçants profitent de cette manne que constitue l’importante garnison du fort, et on voit rapidement poindre différents magasins et débits de liqueur sur l’une des artères principales de l’époque : la rue Front (Richelieu).
Cependant, le désordre règne dans cette agglomération commerciale où les bagarres sont affaires courantes. L’abbé Jean-Dominique Brosseau parle alors d’un souci peu marqué de l’hygiène, et parfois même de la moralité dans ce qu’il nomme « le quartier des affaires » et qui héritera même du surnom de «Rookery», qui se francisera pour ultimement devenir la «Roquerie». Brosseau nous offre d’ailleurs une définition du sobriquet de ce lieu qu’il juge peu recommandable :
« On appelle ainsi, en Angleterre, les bosquets de vieux arbres où se plaisent à nicher, en troupes innombrables, les petits corbeaux noirs de ce pays (Jackdaws), bruyants, batailleurs et malpropres.»
-Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu

Les montgolfières
C’est en 1984 que Saint-Jean-sur-Richelieu lance la première édition du Festival
de montgolfières du Haut-Richelieu. L’évènement accueille alors environ 60 000
personnes et connaît un vif succès.
D’ailleurs, Saint-Jean est surnommée dès 1987 la
« capitale de la montgolfière ». Rebaptisé Festival de montgolfières de Saint-Jean-sur
Richelieu en 1992, puis International de montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu en
2001, celui qui a lieu à chaque mois d’août est devenu au fil des ans « l’évènement
signature » des Johannais, à travers le Québec et même au-delà.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
de montgolfières du Haut-Richelieu. L’évènement accueille alors environ 60 000
personnes et connaît un vif succès.
D’ailleurs, Saint-Jean est surnommée dès 1987 la
« capitale de la montgolfière ». Rebaptisé Festival de montgolfières de Saint-Jean-sur
Richelieu en 1992, puis International de montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu en
2001, celui qui a lieu à chaque mois d’août est devenu au fil des ans « l’évènement
signature » des Johannais, à travers le Québec et même au-delà.
- Document d'archive de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu

La biodiversité du Richelieu
La richesse de la biodiversité du Richelieu est impressionnante. La rivière est un couloir emprunté par de nombreux oiseaux migrateurs. Notre région devient chaque automne une halte migratoire dont le spectacle est saisissant! En effet, au passage de l’oie des neiges, la rivière se couvre de blanc. En fait, comme le Richelieu coule sur un axe nord-sud, cela fait de lui le parfait couloir de migration. En plus des oies, on peut y observer de nombreuses espèces de canards, des sarcelles, des bernaches, etc.
Sous l’eau, mentionnons le chevalier cuivré, une des nombreuses (57) espèces de poissons qu’on trouve dans la rivière Richelieu. Son nom lui vient des écailles aux teintes cuivrées qui le recouvrent telle une armure. Celui-ci peut atteindre plus de 70 cm de longueur. Il attire davantage l’attention parce que sa survie est menacée. On dit de cette espèce qu’elle est « endémique au Québec », c’est-à-dire qu’on ne la retrouve nulle part ailleurs dans le monde. Et c’est surtout dans les eaux du Richelieu que vit le chevalier cuivré. Pour lui venir en aide, on le reproduit artificiellement depuis 2004.
Sous l’eau, mentionnons le chevalier cuivré, une des nombreuses (57) espèces de poissons qu’on trouve dans la rivière Richelieu. Son nom lui vient des écailles aux teintes cuivrées qui le recouvrent telle une armure. Celui-ci peut atteindre plus de 70 cm de longueur. Il attire davantage l’attention parce que sa survie est menacée. On dit de cette espèce qu’elle est « endémique au Québec », c’est-à-dire qu’on ne la retrouve nulle part ailleurs dans le monde. Et c’est surtout dans les eaux du Richelieu que vit le chevalier cuivré. Pour lui venir en aide, on le reproduit artificiellement depuis 2004.

Les corneilles
Les corneilles d’Amérique vivent en couple, menant une petite vie bien rangée, dispersées dans le Haut-Richelieu. Quand l’automne arrive, celles auxquelles on porte peu attention en temps normal envahissent littéralement le ciel à la brunante. C’est par milliers qu’on les voit se percher à la cime des arbres. Le spectacle est impressionnant!
Équipe de création, mapping de
l'église Saint-Athanase

Thomas Hodgson
Idéation - conception sonore - composition musicale
Thomas Hodgson est un artiste multidisciplinaire (chanson, théâtre, conte, arts visuels, arts numériques) qui anime les coulisses presque autant que la scène. Le créateur stimule l’interprète et vice versa. Ses formations et expériences diverses lui confèrent un regard généraliste précieux. Au sein de la Cargaison, sa grande curiosité est mise au service de la création et de la direction technique.
Thomas Hodgson est un artiste multidisciplinaire (chanson, théâtre, conte, arts visuels, arts numériques) qui anime les coulisses presque autant que la scène. Le créateur stimule l’interprète et vice versa. Ses formations et expériences diverses lui confèrent un regard généraliste précieux. Au sein de la Cargaison, sa grande curiosité est mise au service de la création et de la direction technique.

Louis-philippe Tardif
Direction technique - conception multimédia
Louis-Philippe Tardif est un artiste numérique et un programmeur. Il carbure au développement de projets qui utilisent les multiples possibilités des nouvelles technologies. Il se spécialise particulièrement dans le mapping et les expériences interactives.
Louis-Philippe Tardif est un artiste numérique et un programmeur. Il carbure au développement de projets qui utilisent les multiples possibilités des nouvelles technologies. Il se spécialise particulièrement dans le mapping et les expériences interactives.

Françoise Dancause
Direction artistique
Françoise est une artiste multidisciplinaire qui porte en elle une curiosité insatiable et une force vive qui l’amène à réaliser les projets les plus complexes. Productrice, directrice artistique, metteuse en scène, elle est également autrice (conte, chanson et théâtre). Depuis quelques années, elle explore les arts numériques et l’apport de la technologie dans la création. Bourse du Calq – exploration et déploiement numérique en 2020, lauréate du Prix Numérique – Culture Montérégie en 2020, lauréate Artiste de la relève en Montérégie en 2020.
Françoise est une artiste multidisciplinaire qui porte en elle une curiosité insatiable et une force vive qui l’amène à réaliser les projets les plus complexes. Productrice, directrice artistique, metteuse en scène, elle est également autrice (conte, chanson et théâtre). Depuis quelques années, elle explore les arts numériques et l’apport de la technologie dans la création. Bourse du Calq – exploration et déploiement numérique en 2020, lauréate du Prix Numérique – Culture Montérégie en 2020, lauréate Artiste de la relève en Montérégie en 2020.

Marilou Desnoyers
Direction du contenu historique
Marilou Desnoyers est historienne de l’art de formation. Autrice de différents ouvrages portant sur l’histoire du Haut-Richelieu, elle signe également une chronique hebdomadaire dans le journal le Canada Français, où elle s’intéresse notamment au patrimoine architectural. L’historienne de la Cargaison est mue par la volonté de démocratiser les savoirs et de rendre contagieuse sa passion pour l’histoire.
Marilou Desnoyers est historienne de l’art de formation. Autrice de différents ouvrages portant sur l’histoire du Haut-Richelieu, elle signe également une chronique hebdomadaire dans le journal le Canada Français, où elle s’intéresse notamment au patrimoine architectural. L’historienne de la Cargaison est mue par la volonté de démocratiser les savoirs et de rendre contagieuse sa passion pour l’histoire.

Marjolaine Quintal
Direction des communications
Autrice, metteuse en scène et comédienne, Marjolaine s’attarde particulièrement aux mots et aux recherches. Elle traque les détails, cisaille les formulations, vérifie les faits. On pourrait la qualifier d’intellectuelle créative ou d’archiviste de l’imaginaire! Au sein de la Cargaison, elle s’implique à la mise en scène et à la création du contenu, dirige les interprètes et s’assure de garder des traces des différentes démarches et expérimentations du collectif.
Autrice, metteuse en scène et comédienne, Marjolaine s’attarde particulièrement aux mots et aux recherches. Elle traque les détails, cisaille les formulations, vérifie les faits. On pourrait la qualifier d’intellectuelle créative ou d’archiviste de l’imaginaire! Au sein de la Cargaison, elle s’implique à la mise en scène et à la création du contenu, dirige les interprètes et s’assure de garder des traces des différentes démarches et expérimentations du collectif.

Fannie Carpentier
Soutien aux communications
Danseuse et comédienne, Fannie combine un solide bagage en danse et une pratique pédagogique basée sur l’exploration et l’expérimentation. Cette approche constitue une force au sein de l’équipe dans tout ce qui concerne la médiation culturelle. Elle a eu l’occasion d’enseigner à tous les groupes d’âge, des tout-petits aux adultes, dans divers contextes : scolaire, municipaux ou privés.
Danseuse et comédienne, Fannie combine un solide bagage en danse et une pratique pédagogique basée sur l’exploration et l’expérimentation. Cette approche constitue une force au sein de l’équipe dans tout ce qui concerne la médiation culturelle. Elle a eu l’occasion d’enseigner à tous les groupes d’âge, des tout-petits aux adultes, dans divers contextes : scolaire, municipaux ou privés.

Denis Émard
Direction de la trésorerie
Denis est issu de l’univers des amuseurs publics. Pendant plus de 20 ans, il a parcouru le Québec avec un duo clownesque avec un spectacle d’humour, de jonglerie et de magie. Agent de spectacles, gestionnaire de projets chevronné, Denis agit comme un pilier au sein de la Cargaison. Il marie son esprit créatif et sa maîtrise de la gestion pour s’assurer de la bonne marche des différents projets, en toute cohérence et dans le respect des échéanciers.
Denis est issu de l’univers des amuseurs publics. Pendant plus de 20 ans, il a parcouru le Québec avec un duo clownesque avec un spectacle d’humour, de jonglerie et de magie. Agent de spectacles, gestionnaire de projets chevronné, Denis agit comme un pilier au sein de la Cargaison. Il marie son esprit créatif et sa maîtrise de la gestion pour s’assurer de la bonne marche des différents projets, en toute cohérence et dans le respect des échéanciers.
Gestion et communications

Françoise Dancause
Direction de production
Françoise est une artiste multidisciplinaire qui porte en elle une curiosité insatiable et une force vive qui l’amène à réaliser les projets les plus complexes. Productrice, directrice artistique, metteuse en scène, elle est également autrice (conte, chanson et théâtre). Depuis quelques années, elle explore les arts numériques et l’apport de la technologie dans la création. Bourse du Calq – exploration et déploiement numérique en 2020, lauréate du Prix Numérique – Culture Montérégie en 2020, lauréate Artiste de la relève en Montérégie en 2020.
Françoise est une artiste multidisciplinaire qui porte en elle une curiosité insatiable et une force vive qui l’amène à réaliser les projets les plus complexes. Productrice, directrice artistique, metteuse en scène, elle est également autrice (conte, chanson et théâtre). Depuis quelques années, elle explore les arts numériques et l’apport de la technologie dans la création. Bourse du Calq – exploration et déploiement numérique en 2020, lauréate du Prix Numérique – Culture Montérégie en 2020, lauréate Artiste de la relève en Montérégie en 2020.

Marjolaine Quintal
Communications
Autrice, metteuse en scène et comédienne, Marjolaine s’attarde particulièrement aux mots et aux recherches. Elle traque les détails, cisaille les formulations, vérifie les faits. On pourrait la qualifier d’intellectuelle créative ou d’archiviste de l’imaginaire! Au sein de la Cargaison, elle s’implique à la mise en scène et à la création du contenu, dirige les interprètes et s’assure de garder des traces des différentes démarches et expérimentations du collectif.
Autrice, metteuse en scène et comédienne, Marjolaine s’attarde particulièrement aux mots et aux recherches. Elle traque les détails, cisaille les formulations, vérifie les faits. On pourrait la qualifier d’intellectuelle créative ou d’archiviste de l’imaginaire! Au sein de la Cargaison, elle s’implique à la mise en scène et à la création du contenu, dirige les interprètes et s’assure de garder des traces des différentes démarches et expérimentations du collectif.

Denis Émard
Comptable agréable!
Denis est issu de l’univers des amuseurs publics. Pendant plus de 20 ans, il a parcouru le Québec avec un duo clownesque avec un spectacle d’humour, de jonglerie et de magie. Agent de spectacles, gestionnaire de projets chevronné, Denis agit comme un pilier au sein de la Cargaison. Il marie son esprit créatif et sa maîtrise de la gestion pour s’assurer de la bonne marche des différents projets, en toute cohérence et dans le respect des échéanciers.
Denis est issu de l’univers des amuseurs publics. Pendant plus de 20 ans, il a parcouru le Québec avec un duo clownesque avec un spectacle d’humour, de jonglerie et de magie. Agent de spectacles, gestionnaire de projets chevronné, Denis agit comme un pilier au sein de la Cargaison. Il marie son esprit créatif et sa maîtrise de la gestion pour s’assurer de la bonne marche des différents projets, en toute cohérence et dans le respect des échéanciers.

Fannie Carpentier
Soutien aux communications
Danseuse et comédienne, Fannie combine un solide bagage en danse et une pratique pédagogique basée sur l’exploration et l’expérimentation. Cette approche constitue une force au sein de l’équipe dans tout ce qui concerne la médiation culturelle. Elle a eu l’occasion d’enseigner à tous les groupes d’âge, des tout-petits aux adultes, dans divers contextes : scolaire, municipaux ou privés.
Danseuse et comédienne, Fannie combine un solide bagage en danse et une pratique pédagogique basée sur l’exploration et l’expérimentation. Cette approche constitue une force au sein de l’équipe dans tout ce qui concerne la médiation culturelle. Elle a eu l’occasion d’enseigner à tous les groupes d’âge, des tout-petits aux adultes, dans divers contextes : scolaire, municipaux ou privés.
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